Pour bien commencer la semaine, une illustration tirée du numéro d'avril de Kezako mundi !
L'article parle de ce physicien d’Oxford qui entend démontrer, avec une équation, que plus il y a de personnes impliquées dans un complot, moins il a de chance de rester secret longtemps (et, par conséquent, que certains prétendus complots ne peuvent pas être avérés).
L'article parle de ce physicien d’Oxford qui entend démontrer, avec une équation, que plus il y a de personnes impliquées dans un complot, moins il a de chance de rester secret longtemps (et, par conséquent, que certains prétendus complots ne peuvent pas être avérés).
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